PUBLICATION
Architecture educates! – Au contact de l’art
Tim Ingold invite à considérer l’art, l’architecture et le design arts comme la base même d’une éducation pour le XXIe siècle en prise aux enjeux sociaux et écologiques.
COLLOQUE
Auguste Perret
Huit sessions et deux tables rondes permettront d’explorer les multiples facettes de l’œuvre d’Auguste Perret.
CONCOURS
Prix étudiant – Architecture en zone sismique
Promouvoir les constructions parasismiques, et récompenser les équipes qui ont contribué à leur réalisation.
CONCOURS
Le vernaculaire sans pastiche
La commune de Bourg Saint Maurice – Les Arcs lance l’édition #3 du concours d’architecture « le vernaculaire sans pastiche ! » réservé aux étudiants des ENSA.
EXPOSITION
Face cachée
Plonger dans les enjeux des handicaps invisibles à travers une série de podcasts.
RECHERCHE
Participez au colloque ExpLearn 2.0
Trois jours d’échanges et d’innovations sur l’apprentissage expérientiel en architecture, les 26-28 mars 2025 aux Grands Ateliers de Villefontaine.
INTERNATIONAL
Atelier conjoint ENSAG/UGA-UT-NCKU
Cette coopération internationale a permis à 30 étudiants de l’ENSAG, 10 de l’Université NCKU de Taïwan, et 26 de l’Université de Tsukuba du Japon, d’échanger et de travailler ensemble.
RECHERCHE
Journée de la recherche
Lundi 18 novembre de 9h à 18h30 se tiendra la journée de la recherche à l’ENSAG.
DISTINCTION
Lauréat du Prix d’Architectures 10+1
L’ENSAG est fière d’annoncer que le restaurant scolaire Jean Rostand, conçu dans le cadre du designbuildLAB du master AE&CC, a remporté le Prix d’Architectures 10+1 2024
INTERNATIONAL
Ma mobilité en 80 secondes
Présentation des vidéos lauréates du concours « Ma mobilité en 80s » qui s’est déroulé lors de la semaine de l’international.
EXPOSITION
Allevard-les-Bains et le Collet d’Allevard
Les étudiants du M1 du master Montagnes, Architecture et Paysage (enseignante coordinatrice, Sonia Doucerain) exposent leur travaux du premier semestre dans la Grande Galerie du 7 au 26 avril.
ICI ET MAINTENANT
Cette année fut l’occasion de rencontrer un lieu à la fois sédimenté et érodé qu’un acte d’architecture se propose de réinscrire durablement dans l’espace et le temps.
Le semestre a été le lieu de l’approfondissement de la question de la création architecturale dans une situation existante en participant à la dissolution de frontières artificielles trop longtemps dressées entre anciens et modernes, ce par un accroissement significatif de la culture architecturale des étudiants.
Les conditions climatiques actuelles et à venir intiment les architectes à s’adapter a la situation en migrant progressivement de la création ex nihilo à la création dans le déjà crée.
Il s’agit de faire de ce moment un acte pesé pour rompre avec les logiques passées soit de destruction, soit d’altération, par l’observation, l’acquisition et la restitution, tout en interrogeant quelles mutations les constructions dont nous héritons sont capables d’accepter dans une dialectique entre logiques passées et désirs actuels, entre imaginer un programme et la capacité de l’accueillir. Il s’agit également de mobiliser des ressources matérielles avec mesure et réemployer celles qui sont générées par les interventions rendues nécessaires.
INTERVENIR
L’intervention dans l’existant se cultive, ainsi ont été proposées chaque semaine les substances de références remarquables.
L’intervention dans l’existant se mesure, ainsi les étudiants se sont livrés à un premier exercice de relevé et de diagnostic en semaines intensives.
L’intervention dans l’existant n’est pas neutre, ainsi les étudiants ont utilisé une connaissance des ressources disponibles dans un perimètre donné, produite pour partie par les étudiants de S9 à l’échelle de la vallée, dont celui du site choisi, pour y puiser la matière de leur intervention.
L’intervention dans l’existant est un acte fort, ainsi les étudiants n’en dissimuleront pas l’importance par l’usage de couleurs identifiables instantanément.
L’intervention dans l’existant n’est envisagée que si elle permet l’accueil du vivant, les amenant à interroger la corrélation entre usages et espaces.
L’intervention dans l’existant n’est pas un acte final mais une proposition contemporaine qui, un jour, laissera la place à une nouvelle intervention.
Équipe pédagogique : Sonia Doucerain (enseignante coordinatrice), Antoine Petit, François Lis, Rémi Huneau, Benoît Guilcher, Thomas Mouillon