RECHERCHE
Soutenance de thèse de Ryma Habdi
Ryma Habdi soutiendra sa thèse le vendredi 18 octobre à 14h à la Maison des Habitants Abbaye à Grenoble.
JNA
Journées Nationales de l’Architecture
L’ENSAG ouvre ses portes vendredi 18 octobre à l’occasion des journées nationales de l’architecture.
CONFÉRENCE
Patrick Henry
La Graduate School UGA a le plaisir d’annoncer une conférence dans le cadre de son programme thématique Metro-Fab-Lab le lundi 4 novembre 2024 à 16h00 à l’IUGA.
CONCOURS
Je filme le métier qui me plait
Participez au concours vidéo « Je filme le métier qui me plaît ». Ce concours, soutenu par le Ministère de la Culture, offre l’opportunité de valoriser les métiers qui vous passionnent à travers la création de vidéos originales.
SPORT
Le service universitaire des activités physiques et sportives
En tant qu’établissement-composante de l’UGA, le personnel de l’école et les étudiants ont accès aux différentes activités sportives dispensées par le SUAPS.
HACKATHON
Innov’action
Participez au Hackathon « Aménager et Construire Autrement » les 23 et 24 octobre à la CCI Nord Isère à Villefontaine.
RECHERCHE
Soutenance de thèse de Marie Flécheux
Nous avons le plaisir de convier à la soutenance de thèse de Marie Flécheux, doctorante du Labex AE&CC / Laboratoire CRAterre qui se déroulera le 8 octobre à 14h à l’ENSAG.
EXPOSITION
Call of a bright future
Une conférence sur la démarche artistique du binôme OKZK et leur rapport aux friches et lieux abandonnés, en amont du vernissage de leur exposition « La Ruine Neuve », se tiendra le jeudi 3 octobre à 12h00 en amphi Maglione.
RECHERCHE
Soutenance de thèse de Georges Abou Mrad
Monsieur Georges Abou Mrad soutiendra sa thèse le mardi 1er octobre à 14h dans l’amphithéâtre Simounet de l’école.
INTERNATIONAL
Bourses de master
Ces bourses sont destinées aux étudiantes et étudiants souhaitant poursuivre des études de master en Allemagne lors de l’année universitaire 2025-26.
EXPOSITION
Allevard-les-Bains et le Collet d’Allevard
Les étudiants du M1 du master Montagnes, Architecture et Paysage (enseignante coordinatrice, Sonia Doucerain) exposent leur travaux du premier semestre dans la Grande Galerie du 7 au 26 avril.
ICI ET MAINTENANT
Cette année fut l’occasion de rencontrer un lieu à la fois sédimenté et érodé qu’un acte d’architecture se propose de réinscrire durablement dans l’espace et le temps.
Le semestre a été le lieu de l’approfondissement de la question de la création architecturale dans une situation existante en participant à la dissolution de frontières artificielles trop longtemps dressées entre anciens et modernes, ce par un accroissement significatif de la culture architecturale des étudiants.
Les conditions climatiques actuelles et à venir intiment les architectes à s’adapter a la situation en migrant progressivement de la création ex nihilo à la création dans le déjà crée.
Il s’agit de faire de ce moment un acte pesé pour rompre avec les logiques passées soit de destruction, soit d’altération, par l’observation, l’acquisition et la restitution, tout en interrogeant quelles mutations les constructions dont nous héritons sont capables d’accepter dans une dialectique entre logiques passées et désirs actuels, entre imaginer un programme et la capacité de l’accueillir. Il s’agit également de mobiliser des ressources matérielles avec mesure et réemployer celles qui sont générées par les interventions rendues nécessaires.
INTERVENIR
L’intervention dans l’existant se cultive, ainsi ont été proposées chaque semaine les substances de références remarquables.
L’intervention dans l’existant se mesure, ainsi les étudiants se sont livrés à un premier exercice de relevé et de diagnostic en semaines intensives.
L’intervention dans l’existant n’est pas neutre, ainsi les étudiants ont utilisé une connaissance des ressources disponibles dans un perimètre donné, produite pour partie par les étudiants de S9 à l’échelle de la vallée, dont celui du site choisi, pour y puiser la matière de leur intervention.
L’intervention dans l’existant est un acte fort, ainsi les étudiants n’en dissimuleront pas l’importance par l’usage de couleurs identifiables instantanément.
L’intervention dans l’existant n’est envisagée que si elle permet l’accueil du vivant, les amenant à interroger la corrélation entre usages et espaces.
L’intervention dans l’existant n’est pas un acte final mais une proposition contemporaine qui, un jour, laissera la place à une nouvelle intervention.
Équipe pédagogique : Sonia Doucerain (enseignante coordinatrice), Antoine Petit, François Lis, Rémi Huneau, Benoît Guilcher, Thomas Mouillon