RENTRÉE 2024
Informations aux L1
Voici quelques informations essentielles pour bien préparer votre rentrée en première année à l’ENSAG.
APPEL A PROJET
Identité graphique de l’ENSAG
L’École nationale supérieure d’architecture de Grenoble (ENSAG) a le plaisir de vous informer du lancement d’un appel à projet pour la conception de sa nouvelle identité graphique.
PARTENARIAT
Festival Bellastock
En tant que partenaire du festival Bellastcok, l’ENSAG co-finance 15 places pour ses étudiants.
RECHERCHE
Terra education IV
Le colloque TerraEducation IV aura lieu du 2 au 4 juillet 2024 à Grenoble rassemblant les travaux de chercheurs issus de 36 pays sous l’égide de la chaire UNESCO Architecture de terre, cultures constructives et développement durable
INTERNATIONAL
Bourses GRI pour des stages de recherche au Canada
Vous serez inscrits en 2025 en M1 à l’ENSAG-UGA et vous êtes désireux de développer votre expertise en recherche au sein d’une université canadienne ?
RECHERCHE
Soutenance de thèse d’Anaïs Guéguen Perrin
Nous avons le plaisir de convier à la soutenance de thèse d’Anaïs Guéguen Perrin, doctorante de l’équipe CRAterre, qui se déroulera le 25 juin à 14h à l’ENSAG.
ARCHI-FOLIES
Le pavillon du canoë-kayak
Les coulisses du pavillon conçu par l’ENSAG pour la Fédération française de canoë-kayak.
EXPLOSITION
Exposition des travaux d’arts plastiques des L3
L’objectif de cet enseignement est de concevoir un projet consistant à analyser un lieu de la ville en s’appuyant sur la visite d’une exposition et en intégrant au travail présenté la question du médium et des techniques.
GRADUATE-SCHOOL UGA
Les conférences de MetroFabLab
Découvrez quelques unes des conférences enregistrées lors de la Graduate School MétroFabLab de l’année 2023-24.
ARCHI-FOLIES
Un chantier-école inédit
Découvrez le pavillon conçu par les étudiants du master Architecture Ambiance et Culture Numérique pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.
EXPOSITION
Allevard-les-Bains et le Collet d’Allevard
Les étudiants du M1 du master Montagnes, Architecture et Paysage (enseignante coordinatrice, Sonia Doucerain) exposent leur travaux du premier semestre dans la Grande Galerie du 7 au 26 avril.
ICI ET MAINTENANT
Cette année fut l’occasion de rencontrer un lieu à la fois sédimenté et érodé qu’un acte d’architecture se propose de réinscrire durablement dans l’espace et le temps.
Le semestre a été le lieu de l’approfondissement de la question de la création architecturale dans une situation existante en participant à la dissolution de frontières artificielles trop longtemps dressées entre anciens et modernes, ce par un accroissement significatif de la culture architecturale des étudiants.
Les conditions climatiques actuelles et à venir intiment les architectes à s’adapter a la situation en migrant progressivement de la création ex nihilo à la création dans le déjà crée.
Il s’agit de faire de ce moment un acte pesé pour rompre avec les logiques passées soit de destruction, soit d’altération, par l’observation, l’acquisition et la restitution, tout en interrogeant quelles mutations les constructions dont nous héritons sont capables d’accepter dans une dialectique entre logiques passées et désirs actuels, entre imaginer un programme et la capacité de l’accueillir. Il s’agit également de mobiliser des ressources matérielles avec mesure et réemployer celles qui sont générées par les interventions rendues nécessaires.
INTERVENIR
L’intervention dans l’existant se cultive, ainsi ont été proposées chaque semaine les substances de références remarquables.
L’intervention dans l’existant se mesure, ainsi les étudiants se sont livrés à un premier exercice de relevé et de diagnostic en semaines intensives.
L’intervention dans l’existant n’est pas neutre, ainsi les étudiants ont utilisé une connaissance des ressources disponibles dans un perimètre donné, produite pour partie par les étudiants de S9 à l’échelle de la vallée, dont celui du site choisi, pour y puiser la matière de leur intervention.
L’intervention dans l’existant est un acte fort, ainsi les étudiants n’en dissimuleront pas l’importance par l’usage de couleurs identifiables instantanément.
L’intervention dans l’existant n’est envisagée que si elle permet l’accueil du vivant, les amenant à interroger la corrélation entre usages et espaces.
L’intervention dans l’existant n’est pas un acte final mais une proposition contemporaine qui, un jour, laissera la place à une nouvelle intervention.
Équipe pédagogique : Sonia Doucerain (enseignante coordinatrice), Antoine Petit, François Lis, Rémi Huneau, Benoît Guilcher, Thomas Mouillon